Cinéma
Un film réalisé par Damien Boyer
Après le succès de son précédent film Sacerdoce — qui a réuni plus de 100 000 spectateurs en salle et a été élu meilleur documentaire de l’année sur AlloCiné — Damien Boyer signe ici un nouveau regard audacieux sur des vocations encore méconnues, poursuivant son engagement à raconter des parcours de foi inspirants et profondément humains.


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Baroudeurs du Christ
Un film de Damien Boyer
Sortie : 05 novembre 2025
Genre : Documentaire
Classification : Tous Publics
Versions : VF
Durée : 90 minutes
Synopsis
On les croyait disparus, relégués aux pages sombres de l’histoire coloniale. Pourtant, ils sont là, besace et Bible en main, dans un tout autre genre. Une nouvelle génération de missionnaires perdure, insoupçonnée.
Ce film révèle des prêtres portés par une foi ardente et une profonde rage de vivre, que certains appellent : “Les Baroudeurs du Christ”. Loin des clichés d’antan, ils impressionnent par leur courage, leur dévouement et leur humanité – parfois maladroite, mais toujours portée par un amour immense. Leur mission ? Partir sans retour, dans un pays qu’ils n’ont pas choisi. Aimer, servir, partager, rire et pleurer avec ceux qu’ils rejoignent.


Critiques

Le précédent film de Damien Boyer avait déjà marqué les esprits. Celui-ci, dans la même veine mais plus ambitieux encore, nous entraîne plus loin, au cœur d’horizons exotiques et de cultures méconnues. On y découvre un message profond : le désarroi de prêtres qui veulent se donner entièrement, mais dont la mission dépasse parfois leurs forces, jusqu’au sacrifice ultime. Une œuvre forte, qui promet des échanges passionnants avec le public en salle.
Exploitant cinéma - Drôme
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Témoignages
Vincent
« Ce documentaire m’a marqué par la sincérité de son propos. Le renoncement, le dépouillement… ce sont des notions rares dans notre société. On découvre des hommes humbles, présents au milieu des populations, et non des figures d’un autre temps. Et puis il y a ces paysages d’Asie magnifiques qui nous emportent, tout en nous confrontant à la réalité humaine des missionnaires. »
Frédérique
« Visuellement, c’est splendide. Certaines images sont dignes des plus grands documentaires de cinéma. On voyage en Inde, au Cambodge, à Taïwan… avec une intensité qui nous emporte. Rien que pour la beauté des plans, ça vaut le détour. « Par certains aspects, cela m’a rappelé Silence de Scorsese : la solitude, le doute, le choc des cultures… sauf qu’ici, ce n’est pas une méditation cinématographique, c’est la réalité brute et sincère de prêtres d’aujourd’hui. »
Stéphanie
« J’ai été bouleversée. On entre dans la vie réelle de ces hommes, avec leurs moments de grâce mais aussi leurs fragilités. On pensait que les missionnaires appartenaient au passé, et pourtant ils existent encore, très loin des clichés. Ce film montre qu’on peut donner sa vie pour les autres, et ça interroge profondément sur nos propres choix. »


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Matthieu
« Ce qui m’a le plus touché, c’est la sincérité des témoignages. Pas de discours préparés, juste des hommes qui se livrent avec simplicité. On sent qu’ils parlent vrai, et ça fait toute la différence. »


Jessica
« J’ai trouvé ce film très prenant. Au-delà de l’aspect spirituel, il parle avant tout d’engagement, de courage et de service des plus fragiles. Ce parallèle entre l’histoire et le monde d’aujourd’hui m’a ouvert une nouvelle perspective. »

Les protagonistes
Père Laurent Bissara
“Si la goutte d’eau n’était pas dans l’océan elle manquerait”
Entrepreneur passionné et promis à une brillante carrière, Laurent Bissara menait une vie pleine d’énergie, de projets et de succès. Pourtant, au cœur de cette réussite, l’appel de Dieu bouleverse sa trajectoire.
Saisi par cette rencontre intérieure, Laurent décide de tout quitter pour entrer au séminaire. Loin du rythme trépidant du monde des affaires, il découvre un autre horizon : celui du silence, du dépouillement et de la recherche de sens. Ce chemin, semé de doutes et de remises en question, devient peu à peu une traversée intérieure où se révèle une vocation plus profonde : se mettre au service des autres.
Cet appel le conduit jusqu’en Inde, dans les quartiers populaires de Calcutta. Inspiré par la figure de La Cité de la Joie, Laurent consacre désormais sa vie aux plus fragiles. Avec des volontaires, il accompagne les familles et prend soin des enfants handicapés souvent laissés pour compte.
Confronté chaque jour à l’immensité des besoins, il apprend à mesurer la valeur d’un geste simple, d’une présence, d’un sourire.
Pour lui, la mission n’est pas une réussite à atteindre, mais une fidélité à vivre.

Père Gabriel de Lépinau
“J’étais appelé à vivre avec Dieu en tant que prêtre, et dans un autre peuple”
C’est le scoutisme qui a été pour le Père Gabriel de Lépinau le terreau de sa vocation. En y expérimentant le don de soi, il a compris que Dieu l’attendait à son service en tant que prêtre. Il est envoyé en mission à Madagascar. Malgré les difficultés d’insertion dans sa paroisse malgache, il y met tout son cœur afin de s’approcher de plus en plus de ses fidèles, et de faire passer le message d’amour du Père. Outre la solitude, le Père Gabriel doit s’adapter à l’épineux problème des pratiques vaudous répandues dans la population.
Son attachement à la beauté et à l’art sacré sont pour lui des atouts permettant de faire passer le message du Christ. A travers l’art, il cherche à rendre concrète la relation à Dieu.

Père Yves Moal
“Souffrir un peu avec eux sur la route de la vie”
Du haut de ses 82 ans, le Père Yves Moal semble ne pas savoir s’arrêter. Né pendant la Seconde Guerre Mondiale, la graine de sa vocation est plantée par l’exemple de son jeune oncle prêtre, martyr de la Résistance.
Envoyé à Taïwan dans la paroisse de Yuli, il s’y active sans relâche depuis 56 ans. Pas de 35h pour le Père, le prêtre est prêtre pour toujours. Il a créé un centre de recyclage pour rassembler les délaissés autour d’un projet commun : prendre soin de la Création. Personnes handicapées, repris de justice, addicts à la drogue ou à l’alcool, il fait preuve à leur égard d’un amour inépuisable, rappelant sans cesse la miséricorde infinie de Dieu.
Après tant d’années passées à ses côtés, il s’est profondément attaché à ce peuple taïwanais, et travaille à la préservation des langues et des cultures aborigènes. Les institutions reconnaissent son action, et il reçoit la nationalité taïwanaise en 2017.

Père Will Conquer
“Tu es là où tu dois être”
Ce missionnaire franco-américain aux airs de Jésus des temps modernes naît dans une famille catholique qui lui transmet une foi vivante. Alors qu’il a tout pour mener une vie parfaitement réussie, Will Conquer part pour un voyage à Calcutta sur les pas de Mère Teresa qui va bouleverser sa vie pour toujours : “Ils n’ont rien, ils naissent et ils meurent dans la rue sans que jamais personne ne leur dise qu’ils étaient aimés.”
Il décide alors de renoncer à une vie prometteuse pour devenir missionnaire, et rejoint les MEP.
Envoyé au Cambodge, au milieu d’hommes et de femmes encore marqués par le joug terrible des Khmers Rouges, il s’active avec enthousiasme à répandre la “bonne odeur du Christ” dans tous les aspects de la vie cambodgienne : religion, culture populaire, architecture, art…
A aimer et comprendre ce peuple qui le fascine, le Père Will expérimente d’autant plus l’urgence de lui donner le Christ.

Père Philippe Blot
“Mon cœur de prêtre m’a incité à les aider, coûte que coûte”
Le Père Philippe Blot découvre la Corée du Sud, un pays marqué d’une blessure profonde : celle d’un peuple déchiré. Bouleversé par sa rencontre avec des nord-coréens en exil, il décide de s’engager corps et âme pour leur venir en aide. Il fonde des foyers pour enfants isolés, souvent orphelins ou en fuite, leur offrant un cadre familial, une éducation et un avenir.
Amoureux de la nature, il se retrouve pourtant propulsé dans la mégapole de Séoul, qu’il apprivoise en découvrant la langue, la culture et les failles secrètes de ce peuple. Dans un contexte marqué par la méfiance et la persécution, il incarne une présence discrète mais inflexible, portée par l’Évangile. Il pousse chaque enfant à se relever, à grandir, à croire en sa propre dignité.
Prêtre, éducateur, passeur d’espérance : il offre une patrie du cœur à ceux que la guerre a privés de tout.

Quatre raisons de voir ce film

Un voyage aux confins du monde et de soi-même
Suivre ceux qui traversent les continents et les cultures, poussés par une quête plus grande qu’eux, pour vivre au plus près de l’humain.

Quatre raisons de voir ce film

Une plongée dans l’engagement absolu
Découvrir des hommes qui ont tout quitté pour se consacrer aux autres, interrogeant nos propres choix et nos renoncements.

Quatre raisons de voir ce film

Un regard inédit sur l’Autre
Explorer la rencontre entre civilisations, croyances et modes de vie, dans un dialogue authentique, respectueux et bouleversant.

Quatre raisons de voir ce film

Un grand récit humain et poétique
Se laisser emporter par des histoires vraies, hors du temps, où se mêlent beauté du monde, fragilité humaine et force de l’espérance.




























